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Troy Von Balthazar

La veille, sur la scène de la Machine du Moulin Rouge, Troy avait perdu sa guitare préférée dans la bataille. Du moins on le croyait. On ne pensait pas que son appel à l'aide pendant le concert serait entendu par une bonne âme du public et encore moins que cette personne aurait réparé sa guitare fétiche pendant la nuit.

On a donné rendez vous à Troy près de la BNF, il est arrivé avec sa « little johnny » comme il l'appelle, au moins un visage familier pour le rassurer.

Car Troy Von Balthazar est un drôle de personnage, silencieux, qui semble un peu effrayé par moment, mais avec de fortes intuitions. Les lumières, les couleurs. Troy choisi ses décors.
Un miroitement sous un pont, une chanson. Troy ne se rend compte de rien, les yeux fermés, dans sa bulle, mais il a su charmer un public tout particulier et les grands espaces.

On a débarqué aux Frigos au beau milieu d'une séance de « photos de charme ». Venir faire jouer dans ce lieu couvert de graffitis le seul qui n'aime pas ça, et devoir y trouver des murs vierges. La belle idée. On a cru qu'on ne trouverait jamais jusqu'à ce que Troy tombe sous le charme d'un mur bleu, d'une porte rouge et d'un train à vapeur.

Troy Von Balthazar sera en concert en solo le 26 mai à Rennes dans le cadre du festival Top of The Folk et avec son groupe désormais mythique, Chokebore, à l'automne (31 octobre à La Machine du Moulin Rouge, 4 novembre au Grand Mix de Tourcoing)