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take away shows — By Derrick Belcham

Diane Cluck

La musique de Diane Cluck lui appartient. Elle est à la source d'une rivière ayant abreuvé nombre de songwriters, et nombre de carrières ont germé sur le terreau de cette voix singulière.

C'est une musique qui nourrit des obsessions, qui coule naturellement depuis l'âme, contenue seulement par sa voix, cet instrument incomparable, précis, qu'elle n'a offert qu'avec appréhension. Malgré une production relativement limitée dans les dix dernières années, son impact a été profond. Si Brian Eno a raison, si les 50.000 et quelques personnes qui ont à l'époque acheté l'album du Velvet ont formé un groupe, alors les 500 qui acheté celui de Diane ont tous entrepris d'écrire un disque honnête.

Nous commençons dans une maison communale, un espace qui nous a été offert par un fan. Une douzaine de personnes vivent ici à plein temps. Nous nous calons d'abord simplement dans une chambre. Quand nous terminons, Diane invite le reste de la maisonnée à nous joindre. La nuit passée, c'étaient chansons en cercles et préparation de tourtes. Ce matin, l'esprit de la communauté tient dans une chanson, pour laquelle un des hôtes se met à l'accordéon.

Nous poursuivons notre quête du réconfort dans l'une des nombreuses pièces. Ce sera une pièce commune dans le grenier, baignées de soleil. Un bébé joue, un patchwork est posée par terre, les résidents vont et viennent alors que Diane et sa chanson puissante pose une ombre précise sur le soleil de la pièce.